Le télétravail continue de susciter l’intérêt des femmes

 

Les employeurs qui cherchent à recruter davantage de femmes seraient bien avisés de proposer des options de travail à distance. Une nouvelle enquête de CareerBuilder a en effet révélé que plus d’un tiers d’entre elles préfèrent travailler à domicile. Cependant, même après plus de deux ans de travail à distance, tout le monde ne partage pas cette préférence.

 

 

 

 

Le télétravail continue de susciter l’intérêt des femmes : Vive la différence

Lorsqu’il s’agit de savoir où les gens veulent travailler, il existe des différences distinctes entre les sexes et les générations. Si certains employés, dont 31 % des hommes, sont favorables à un retour au bureau traditionnel, d’autres affirment que leur lieu de travail idéal se situe ailleurs. Les données montrent que 34 % des adultes salariés préfèrent un bureau à domicile, contre 27 % des employés qui citent un bureau fourni par l’entreprise comme leur premier choix. D’un point de vue générationnel, 20 % des membres de la génération Z, 35 % des Millennials et 44 % des Boomers préfèrent travailler à domicile.

 

Le télétravail continue de susciter l’intérêt des femmes : La génération Z aime travailler à partir de n’importe où

(WFA : work from anywhere) – Avec Skalis travaillez depuis la France, l’Allemagne, l’Angleterre, le Luxembourg, la Belgique, la Pologne…

 

L’enquête a également révélé que 26 % des employés, principalement les membres de la génération Z (44 %) et les milléniaux (30 %), se tournent vers un lieu de travail non traditionnel, 13 % préférant un espace extérieur ou un patio,
9% utilisent un espace de co-working avec d’autres entreprises, et 4% vont dans un café pour travailler.

 

 

 

 

 

 

Même si les gens sont prêts à retourner au bureau, ils ne veulent pas avoir à passer trop de temps pour s’y rendre. Plus de trois employés sur cinq (66 %) déclarent qu’ils ne sont prêts à faire que des trajets de 30 minutes ou moins, les femmes et les baby-boomers étant les plus susceptibles de le faire. Un autre tiers des travailleurs (34%) sont prêts à faire un trajet de plus de 30 minutes pour se rendre au travail, mais très peu (7%) acceptent de faire un trajet de plus d’une heure.

 

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